Jean-Christophe Carret, directeur des opérations de la Banque mondiale pour la République d’Angola, la République du Burundi, la RDC et de la République démocratique de Sao-Tome et Principes a conduit, le vendredi 11 mars 2022, une mission de la Banque mondiale auprès de l’honorable président de l’Assemblée nationale, Christophe Mboso N’Kodia Pwanga deuxième personnalité de la République démocratique du Congo.
La rencontre avait pour objectif de
discuter, de manière très libre, sur comment augmenter rapidement l’investissement privé dans les secteurs de l’énergie, du transport et de la fibre optique, de manière à accroître l’accès à l’énergie, la mobilité à traves le pays et l’accès à l’internet.
En tant que chambre législative, l’Assemblée nationale devra travailler sur des réformes du cadre juridique pour attirer les investisseurs privés dans ces secteurs vitaux de la vie nationale.
Au sortir de l’entretien avec le premier parlementaire congolais, le chef de la délégation s’est exprimé en ces termes:
« Je suis le représentant de la Banque mondiale en RDC et nous avons le plaisir de recevoir deux de nos collègues de Washington, notamment le directeur régional pour les infrastructures et la personne qui travaille à côté de notre vice- président, qui avait récemment rendu visite au président de l’Assemblée nationale.
L’objectif de cet entretien était de discuter, de manière très libre, sur comment augmenter rapidement l’investissement privé dans le secteurs de l’énergie, du transport et de la fibre optique, de manière à accroître rapidement l’accès à l’énergie, la mobilité a traves le pays et l’accès à l’internet ».
La délégation de l’institution de Bretton Woods a eu une discussion à bâtons rompus avec le président de l’Assemblée nationale sur le sujet car, a estimé Jean-Christophe Carret,
« Une grande partie de ce qu’il faut faire pour attirer les investisseurs privés, c’est mener de réformes. Et, toutes les réformes sont discutées à l’Assemblée nationale.
Mais qu’elles sont ces réformes ?
Le directeur des opérations de la Banque mondiale a fait savoir:
« Certaines de ces réformes sont déjà là, mais doivent être complétées. D’autres vont venir plus tard. On voulait donc échanger sur la nature des réformes ».
Ass
PATRICK MALA