« Détérioration de la situation sécuritaire, désarticulation totale des institutions, record de détournements des deniers publics », la RDC se trouve pleine dans l’ornière et le PPRD se propose en alternative crédible pour endiguer la situation.
Sans détour, la famille politique de l’ancien président de la République Joseph Kabila condamne « l’instauration de la dictature manifestée par la désarticulation totale des institutions de la République au point de réduire à néant l’esprit de la Constitution », en mettant en exergue les récentes désignations des membres de la Cour Constitutionnelle ou encore l’adoption de la loi électorale.
Sur le volet sécuritaire, l’Est du pays est dépourvu de paix à cause de l’agression du Rwanda sous la bannière du M23. Le retour de cette rébellion comme l’activisme des autres groupes armés est nourri par « certains choix hasardeux et options stratégiques inconséquentes du Pouvoir actuel », dénonce le Parti du Peuple pour la Reconstruction et la Démocratie reste confiant quant à la capacité des FARDC à vaincre ces forces du mal.
Encore plus tranchant, le bureau politique de ce parti a pris pour responsable le régime de Felix Tshisekedi, « de la perte continue du pouvoir d’achat des congolais et de la détérioration accentuée de son train de vie quotidien alors que le peuple assiste impuissant, en un temps record, à des détournements des deniers publics ainsi qu’à l’enrichissement insolent de certains cadres du pouvoir » déplore-il.
De ce marasme, le PPPRD se propose comme une alternative pour faire face à la situation actuelle.
Bin Ibrahim B