Samih Jammal peut poursuivre ses soins tranquillement. Condamné pour corruption, détournement de fonds publics et blanchiment des capitaux dans le cadre du programme de 100 jours, l’opérateur économique est bénéficiaire de la liberté provisoire.
Selon les sources judiciaires, l’homme d’affaires libanais bénéficie de cet allègement de peine sous quelques conditions notamment « pour lui permettre de se faire soigner » paisiblement. Jammal n’a passé que quelques mois dans les geôles de Makala avant d’être hospitalisé dans un centre médical de Kinshasa depuis 2020, rapportent des sources concordantes.
Ibrahim B