Il est désormais homme libre. Vital Kamerhe, puisqu’il s’agit de lui, a eu raison devant la cour de cassation, qui l’a reconnu non coupable des faits pour lesquels il a été accusé. En liberté provisoire depuis décembre 2021, le président de l’UNC avait déboursé une somme de 500 000 dollars américains comme caution pour jouir de la liberté provisoire, devenue aujourd’hui définitive.
Pour rappel, Vital Kamerhe a été condamné pour détournement de fonds publics alloués aux travaux des 100 jours du président de la République, facette, maisons préfabriquées.
Gilbert Sterick